Apprivoiser ses émotions

J’arrête d’être gentille

Marre d’être prise pour la bonne poire ?
Trop dévouée aux autres ? Trop de charge mentale ? Prise dans un vortex de tâches sans fin ? Marre de quémander de la reconnaissance dans un monde où tout tourne trop vite ?

Lis-ça. Et relis-le.

Tu as le droit de dire non.
Tu as le droit d’être en colère et de l’exprimer.
Tu as le droit de te reposer.
Tu as le droit d’avoir des besoins – même de petits besoins – et d’en prendre soin.
Tu as le droit de ne pas avoir envie. C’est parfaitement ok.
Tu as le droit de ne rien faire.
Tu as le droit de ne pas sourire.
Tu as le droit de refuser de satisfaire les autres.
Tu as le droit de provoquer la colère des autres, si ça te permet de protéger ton intégrité ou tes besoins. Ça leur appartient.
Tu as le droit de prendre du temps.
Tu as le droit de demander de l’aide.
Tu as le droit de laisser à l’autre sa pleine responsabilité.
Tu n’as pas à sauver le monde.
Tu as le droit de ne pas être parfaite.
Tu as le droit d’être toi, juste toi, tu es parfaite comme tu es, tu étais juste parfaite à ta naissance. Et tu l’es toujours.

Relis-le, encore et encore. Imprime-le.

Le plus dur, c’est la mise en pratique, tu le sais…
Parce que t’autoriser à ne pas être gentille, ça fait surgir tout un tas de peurs intérieures.
Peur de déplaire, peur du rejet, peur de s’effondrer, peur de faire du mal …

Il est parfois plus facile d’être gentille, que de risquer de rencontrer nos fantômes intérieurs.

Pourtant, l’enfer, c’est aujourd’hui que tu le vis.
N’est-ce pas ?

Quand tu es épuisée, quand tu fais bonne figure alors qu’à l’intérieur tout se fissure, quand tu continues à porter ce masque qui t’étouffe…
Le sens-tu ? Le sens-tu à l’intérieur de toi ?

Pourquoi je peux en parler si précisément ?
Parce que je suis une ancienne « trop gentille ».
Et que l’enfer je l’ai aussi vécu. Rien que d’y repenser, j’ai de la douleur qui revient.

Ce n’est pas ta faute.
Ce n’est pas ta faute.
Ce n’est pas ta faute.

Tu as fait de ton mieux.
Mais aujourd’hui, tu peux décider que demain sera différent.

Tu peux apprivoiser tes peurs et surtout apprendre à utiliser tes émotions, ton ressenti au service de ton bien-être. A dire non, à poser tes limites efficacement, à honorer tes besoins, à écouter ton corps et ton cœur avant tout. Et le tout sans te forcer, sans renier tes valeurs, sans trahir ceux que tu aimes.

Je te propose de se retrouver vendredi prochain (22 novembre) en soirée pour un atelier unique « J’arrête d’être gentille », à Grenoble. Tu pourras aller à la rencontre des appuis intérieurs et des outils qui peuvent t’ aider à te positionner clairement et à t’exprimer authentiquement, sans trahir tes valeurs.

Informations et inscription ici.

On s’y retrouve ?

Et si tu n’aimes pas le collectif, ou habites trop loin, je propose toujours de l’accompagnement en individuel en visio ou présentiel.

With love,

Flore

Laisser un commentaire